Vous n'êtes pas identifié(e).
Bonjour,
Si ce n'est ni un dépôt de crasse, ni un vernis qui apporte ce jaunissement, mais que celui-ci provient d'une transformation de la matière, je n'ai aucun conseil à vous donner. D'un point de vue déontologique, cela reviendrait à cacher la "patine", en tout cas l'évolution naturelle (même si elle provient d'une erreur).
Par contre, en tant que créateur de l'œuvre, et tant que celle-ci vous appartient toujours, vous pouvez faire ce que bon vous semble avec.
Pour le ponçage, aucune idée. Dans le cas de vernis très dur, on pratique plutôt l'arasage à l'aide d'un scalpel en ramollissant (ou non) la résine avant.
Désolé de ne pouvoir vous aider, mais votre cas n'est pas réellement un cas de restauration.
Bonne chance dans votre recherche.
Cordialement,
Denis
Bonjour,
La peinture est-elle vernie ?
Quel est sont support (toile, bois, papier...) ?
L'ensemble, peinture/support est-il cohérent (pas de déplacage, de soulèvement... )?
Quand vous dites "par endroit", sont-ce certaines couleurs ? Des endroits plus ou moins épais que d'autres ?
Et dernière question, avez-vous une expérience dans le domaine ?
Merci d'avance pour ces précisions.
Cordialement,
Denis
De rien,
En restant à votre écoute en cas de besoin.
Passez un bon week-end.
Bonjour,
Vous dites que vous baisser le pourcentage d'Éthanol ou d'acétone... Mais d'une part, préféré l'isooctane au White Spirit qui contient des produits qui peuvent nuire au tableau et qui s'évapore difficilement, et le Méthyleéthylcétone à l'acétone du commerce qui peut aussi contenir d'autres produit.
Enfin, l'éthanol est très fort, préférez-lui isopropanol.
Les mélange Méthyleéthylcétone, isopropanol, isooctane permettent plus de souplesse :
Un mélange fort est un mélange à 50% des deux premiers. Moins fort, un mélange à 33% des deux premiers et 34% du dernier, et plus doux encore 25% des deux premiers et 50% du dernier.
Enfin, pour les couches très fragiles, vous pouvez essayer l'acétate d'éthyl.
Tenez-nous au courant.
Cordialement,
Denis
Bonjour,
C'est bien de confier cela à une restauratrice. Les solvants volatils nécessaire à l'opération sont nocifs et délicat à manier.
Tenez-nous au courant de ce qu'elle trouve.
Bonne fin de journée.
Cordialement,
Denis
PS. Merci à Courbet pour cette précision.
Il y en a des petites pas cher ici https://www.leroymerlin.fr/produits/lampe-uv-p.html.
Je reste à votre écoute.
D.
Bonjour,
Avez-vous pu passer le tableaux aux UV pour être certain·e qu'il n'est pas vernis ?
Certains vernis synthétiques ressemble à une couche de crasse quand ils vieillissent et devraient être supprimer avec des solvants volatiles et non avec du TAC.
Il faudrait donc pour savoir si le problème est bien lié à un dépôt de crasse être certain qu'il n'y a pas de vernis.
Il peut aussi arriver que des personnes peu scrupuleuses vernissent un tableau sale pour lui "redonner de l'éclat", ce qui entraine que les salissures sont sous un vernis, ce qui les rends difficiles à supprimer.
Enfin, effectivement, passer avec insistance et à beaucoup de reprises sur chaque zone entraine souvent une usure de la couche picturale. Je ne suis donc pas étonné.
Dans l'attente de votre réponse.
Cordialement,
Denis
Bonjour,
Et de rien, toujours un plaisir de tenter d'aider.
Pour pulvériser l'éconacide, regarder du côté des pistolets à peinture... ça va de 20 € à beaucoup plus cher... j'en avais un petit avec bouteille de gaz, mais impossible de retrouver la référence sur le Net. Ceux de Laverdure sont chers !
Pour le vernis, je trouve que le Damar à 10 % passé en deux couches donne un beau brillant. Je préfère avoir un vernis peu chargé en résine et l'apposer en deux à trois couches, qu'un vernis épais plus difficile à manier. Sinon, en moins brillant, mais avec un très bel aspect, le satiné de Sennelier (https://www.sennelier.fr/Vernis-satine- … _4259.html) que je diluais à 50 % dans l'essence de térébenthine pour le rendre plus fluide et que je passais en 3 couches sur une restauration (avant masticage, après et en finale après réintégration).
Par contre, attendez bien que l'éconacide ait son alcool d'évaporé avant de poser votre vernis afin de ne pas avoir de chancis... d'ailleurs, j'y pense, un chanci peut avoir le même aspect qu'une moisissure... vous êtes certaine que c'est bien de la moisissure ? J'imagine que oui, mais je préfère demander.
Pour protéger les tableaux, vous pourriez poser une cire-résine au dos pour éviter l'infiltration d'humidité dans le contreplaqué. Les décrasser et les vernir, et surtout, éviter les endroits humides ! D'ailleurs, veillez à ce qu'ils aient reposé dans un endroit sec suffisamment longtemps avant d'agir dessus.
Pour les recettes dont vous parlez, je ne les ai jamais croisées ni pratiquées moi-même, aussi je ne peux pas en dire grand-chose. Personnellement, je me méfie des mélanges trop complexes qui nécessitent une grande maîtrise de tous les paramètres, j'espère que quelqu'un sur le forum pourra vous en dire un peu plus.
Je reste à votre écoute. N'hésitez pas à nous solliciter et à nous tenir au courant.
Bonne fin d'été.
Denis
Bonjour,
Les moisissures sont un enfer ! Lors de mes utilisations de l’Éconacide alcoolique, je l'appliquais toujours en pulvérisation, j'ai l'impression que ça rendait l'application plus homogène. Et surtout, l'alcool étant un produit puissant, je préférais éviter les frottements en plus de l'application dudit alcool.
Si les tableaux ont été stockés dans une grange, vous avez pu avoir un dépôt de crasse dessus qui au-delà du dépoussiérage colle à la couche picturale... c'est peut-être cela la couche jaunâtre.
Une huile pouvant mettre jusqu'à 100 ans pour polymériser complètement, au bout de 10 ans, elle peut s'avérer encore sensible, surtout, comme je vous le disais, à des solvants puissants comme l'alcool, qui effectivement peut, surtout si c'est accompagné de frottements, attaquer votre peinture.
Avez-vous essayé de décrasser le tableau avant d'agir dessus ?
Vous trouverez plusieurs conversations sur le TAC dans le forum, dans votre cas, j'éviterai le Contrad (ou Décon) à cause de la methylcelluose.
Pour vous, difficile de dire comment se comporte votre peinture sur le court, moyen ou long terme (je n'ai jamais croisé de mélange huile/méthilcellulose...).
Donc, je dirais en premier lieu de faire des tests de décrassage pour voir si vous n'avez pas un dépôt sur vos peintures. Ce serait ballot de vernir sur de la crasse ! -)
Par contre, commencez par essayer de mettre vos tableaux dans un endroit sec et thermiquement stable.
Si la moisissure est persistante, je pulvériserais l'éconacide alcoolique et j'attendrais une dizaine de jours pour voir.
Pour les vernis, cela dépend de ce que vous voulez. Quelque chose de mat, de brillant, de "neutre". Votre peinture est en empâtement, en glacis, en demi-pâte ?
Sinon, je ne connais pas d'autres antifongiques qui soient compatibles avec des tableaux.
J'espère que mes commentaires vous aideront, pas forcément dans leur application, mais dans la réflexion qu'ils ajoutent à la vôtre.
Je reste à votre écoute. Tenez-nous au courant.
Cordialement,
D.
Bonjour,
Vous avez notamment ici http://3atp.org/forum/viewtopic.php?id=409, un peu le même problème.
Je sais qu'à l'époque où je pratiquais, je nourrissais le Modostuc avec du Paraloïde B72 à 15% (dans le diacétone alcool).
Mais pourquoi pas au Dammar.
Quant à savoir quel est le meilleur vernis, je crains que ce ne soit difficile. Cela dépend si vous ajouter un medium et/ou le solvant de dilution utilisé et de votre "peinture" de retouche (pour vous Gamblin)... et même des pigments (je faisais ma première retouche aux pigments) qui sont aussi plus ou moins absorbant.
Quelque soit le vernis que vous utilisez, il faut de toute façon bien veiller à ce que son application ne dépasse pas les limites du mastic pour éviter des brillances ponctuelles inappropriées.
Si vous testez le Dammar, dites-nous comment cela a réagi, je suis certain que ça intéressera d'autres personnes.
Désolé de ne pouvoir vous donner de réponse plus décisive.
Dans l'attente de votre retour.
Merci pour votre retour, je suis certain que ça aidera d'autres personnes.
Toujours à votre écoute.
Je suis personnellement moyennement convaincu par les bienfaits du White.
Si vous voulez bien nettoyer le dos de votre toile (de ce qui s'est incrusté de dedans, il existe une méthode à base de tylose.
Il faut mettre une protection de surface (éventuellement à la tylose aussi) puis, en mettant la toile à plat, vous faites une ligne de carrés de tylose d'environ 4-5 cm en mettant l'espace d'un carré sans tylose une fois sur deux.
Selon la taille de la toile, on peut préparer une ou plusieurs lignes en faisant en sorte que les carrés de la ligne du dessous soient décalés par rapport à la ligne de dessus.
On attend un peu et avec une spatule de dentiste (ou tout outil équivalent), on "racle" la tylose qui par capillarité a, normalement, absorbé une bonne partie de la crasse. C'est ce que je faisais avant un rentoilage.
Une fois que vous êtes arrivé en bas, vous faites pareil dans les cases laissées vides.
Sinon, préférez l'isooctane au white qui contient plein de produits plus ou moins douteux pour la conservation.
Vous pouvez d'ailleurs essayer de nettoyer la surface avec. Comme c'est un solvant, faites des tests avant pour voir si la peinture ne réagit pas, mais dans ce cas, ce sera peut-être plus efficace que le décon.
Je reste à votre écoute en cas de besoin. Tenez-nous au courant.
Bonjour,
Comment l'avez-vous nettoyé ?
Avez-vous nettoyé le dos de la toile qui a pu aussi s'imprégner de vapeur graisseuse ?
Dans l'attente de votre réponse.
Denis
Bonjour,
Voyez sur le site https://ctsconservation.com/. Ils ont des locaux Passage Thiéré 26 - 75011 Paris, mais téléphonez leur peut-être avant pour ne pas vous déplacer pour rien. Ph: +33.1.43556044 / email: cts.france@ctsconservation.com .
Bonjour,
Personnellement, je ne suis pas certain que le paraloïde est complètement adapté.
Moins elle est diluée, plus elle est fluide... C'est une question de rapport entre le pouvoir "adhésif" et "l'épaisseur" que celui-ci prend.
Faites des tests à 10, 15 et 20% et attendez quelques jours pour voir ce qui tient.
J'y pense maintenant, vous pouvez peut-être obtenir de bon résultat avec un refixage généralisé par le dos avec du Klugel G... un peu délicat à manier (il faut impérativement que toute partie de la couche picturale qui est en appuie sur quelque chose soit isolé avec du papier siliconé sur les deux faces)... parce qu'il faut travailler à la verticale. (http://3atp.org/Klugel-G).
Tenez-nous au courant.
Bonjour,
En fait dès que l'on chauffe un objet d'art pour le restaurer, il est nécessaire de faire des tests pour voir si la couche picturale supporte le chaud. Bien entendu, plus une peinture est jeune, plus elle y est sensible, mais d'autres facteurs entrent en jeu comme les pigments et la composition du médium.
Aussi quand vous allez tenter la restauration, ne faites pas tout en même temps. Commencer par une petite zone, si possible la moins "visible" et faite un premier refixage en notant la concentration du produit, le papier intermédiaire utilisé, la température de la spatule et le temps approximatif d'application.
Attendez le lendemain pour voir si tout va bien. Si vous notez des problèmes, changer un paramètre et retester.
Une température modérée est entre 40 et 70°. L'Aquazole réagit à partir de 55°, donc je dirais de commencer à 55 et, éventuellement, comme vous êtes sur un volume et que l'application de la spatule n'est pas forcément simple, vous pouvez pousser un peu la température sans dépasser les 70°.
Il faudra aussi faire attention à rester localisé·e le plus possible sur les zones de soulèvement et d'écaillage. Je crois me souvenir qu'il y a des risques de chancis (http://3atp.org/Chancis) avec l'Aquazole. C'est un peu ennuyeux, mais pas grave, il suffit, a priori, de renourrir la couche picturale avec un vernis ou du paranoïde B72 pour qu'il disparaisse. Mais c'est aussi pour ça qu'il faut faire un test et laisser reposer afin d'être certain·e qu'une réaction tardive ne se fasse pas sentir.
N'hésitez pas à revenir vers nous.
Pour la conservation, je ne suis pas spécialiste des terres cuites, mais vues les artéfacts antiques que l'on trouve, cela à l'air solide !-).
Les grands principes sont : l'humidité est souvent nocive, mais plus que tout ce sont les variations d'humidité et de température qui sont dangereuses, parce qu'elle entraine des gonflements, rétractation de la matière. Les vibrations sont aussi assez néfastes (par exemple des personnes qui vivaient au-dessus d'un métro on eu des problèmes de déplace d'une peinture et les vibrations étaient la seule explication.
Enfin les pollutions atmosphériques peuvent occasionner des réactions chimiques de surface. C'est donc un peu comme pour nous : un endroit stable et tranquille.
Voilà, j'espère que cela vous aidera.
Je reste à votre écoute en cas de besoin.
Cordialement,
Denis
Pour les matériaux, on me conseille : Aquazol 200 (5% dans l’alcool) ou Fluoline (pur)(attention TRÈS TOXIQUE), à faire en extérieur ou sous hotte avec masque.
Nous avons une fiche sur l'Aquazol http://3atp.org/L-Aquazol... mais pas sur la Fluorine.
Tenez-nous au courant de ce que vous compter faire.
Merci Librarii pour cette précision :-)
Bonjour,
Je ne pense pas que la sculpture ait été mal conservée... l'humidité aurait eu, à mon avis, des dégats plus généralisés.
Comme le disait librarii (et vous même), on a surement des terres d'ombre, d'ombre brulée et/ou de sienne qui absorbent le médium et peuvent fragiliser la peinture. Les terre d'ombre étant peut-être les pires.
On voit quelques petits soulèvements et boursouflures, mais rien de trop grave pour l'instant.
Juste pour savoir, possédez-vous une spatule chauffante ? Ce sera surement nécessaire au refixage pour réaplanir les soulèvement et boursouflures.
J'opterais peut-être plus pour du plexisol qui nécessite donc d'être travaillé à chaud... aussi, vu le peu de surface impactée, je me demande (surtout si vous n'avez pas de spatule chauffante) si cela ne vous reviendrait pas moins cher d'apporter l'objet à un·e restaurateur·trice que d'acheter matériel et produits pour le faire...
Je me renseigne et reviens vers vous dès que j'ai plus de renseignement, j'ai personnellement peu travaillé de plâtres et vais tenter d'avoir plus de renseignements.
Bon week-end
Bonjour,
Comme je le dis souvent ici, et même si la plupart des opérations de restauration-conservation sont délicates, le refixage en est une qui l’est particulièrement. Elle peut faire plus de mal que de bien !
Pas certain que le paralloïd soit suffisamment puissant, la terre cuite ayant une certaine capacité d’absorption.
Comme le dit très justement librarii, il faut avant de penser la reprise des manques commencer par stopper la dégradation. Une question à se poser est alors de savoir pourquoi la peau se détache et pas le reste. Est-ce dû à une différence du médium, du pigment, d’un ajout de siccatif… ? Les autres couleurs vont-elles suivent et fait-il prévoir un refixage généralisé préventif ?
Avez-vous un moyen de mettre des photos en ligne ? Il faudrait savoir comment naissent les écailles. Sur un tableau, elles naissent le plus souvent des mouvements du support qui crée un réseau de craquelures qui finissent par occasionner des écailles. Sur une terre cuite, j’imagine que les mouvements du support sont plutôt restreints, aussi les raisons des écailles restent à déterminer (manque de souplesse de la peinture qui sur les formes les plus arrondies finit par se contracter sous l’effet de la réticulation naturelle, excès de siccatif initial sur les couleurs peau…).
Sinon, comment et où l’objet était-il entreposé ?
Dans l’attente de vos précisions.
Cordialement,
Denis
Bonjour librarii,
Et bien merci pour cet éclaircissement et si ma pratique sur ce forum sort un peu de ce que vous dites, je n'en suis pas moins totalement d'accord avec vous et vais faire des efforts dans ce sens.
Et j'vous remercie pour l'attention que vous portez à ce forum... au moins, je ne suis plus le seul à répondre !
Au départ, (en 2002), le forum avait été conçu comme un espace d'entraide entre professionnel·les... le temps qu'il soit découvert et qu'il prenne vie, il était déjà utilisé par des amateurs et amatrices, et si j'essaie de prévenir qu'il faut des connaissances et compétences bien rodées, du matériel et des produits spécifiques, il arrive que, comme vous le dites, il y ait une volonté d'intervention.
Pour faire une analogie, si l'intervention consiste à changer une ampoule, je ne conseille pas d'appeler l'électricien, si c'est changer un interrupteur, je conseille une grande prudence, si c'est le tableau électrique, je conseille de s'adresser à un pro.
Vous trouvez donc dans ce forum des conversations de touts niveau et parfois des conseils à la limite du raisonnable... mais je préfère tenter d'accompagner celles et ceux qu ne veulent pas renoncer ; soit parce qu'iels n'ont pas les moyens financiers d'aller chez un·e professionnel·le, soit à cause d'une irrépressible envie de faire soi-même.
Sur l'origine de ce post, à noter que le papier journal est mis côté toile, pas côté couche picturale. Et j'imagine que la personne fait une remise à plat, pose des bandes de tension ou prépare un doublage ou un rentoilage. Tenant ce forum sur mon temps libre, je n'ai pas forcément le temps de rentrer dans le détail de tous les posts... ici, la personne semble savoir ce qu'elle fait, alors je réponds directement à sa question, dans d'autre cas plus "douteux ou sensible", j'essaie de prendre le temps d'entrer dans les détails.
Je comprends votre exigence, et vous présente toutes mes excuses si je n'y réponds pas. Par chance, personne n'est venue me hurler dessus en 20 ans d'existence du forum et j'espère avoir réussi à en aider certaines. J'espère aussi que mes conseils restent prudents, mais merci de votre avertissement et de l'intérêt que vous portez à cette plateforme, j'essaierai d'être plus pointu.
J'espère avoir répondu à votre interrogation et que vous continuerez quand même à jeter un oeil de temps à autre sur les nouveaux posts.
Restant à votre écoute pour toute précision utile.
Bonne journée,
Denis
Si l'encre est dans le vernis, et fonction de l'ordonnance des interventions (consolation structurelle avant nettoyage), vous devriez pouvoir récupérer ce massacre.
Si nous pouvons vous être d'une quelconque utilité, n'hésitez pas.
Bon courage.
Ah oui, vous avez fait des test d'allègement de vernis ?
L'encre n'est pas allée jusqu'à la couche picturale ?
Effectivement... jamais rencontré une telle chose !
Une livraison juste après un vernissage ? Une personne pressée !-)
Bonjour,
Et de rien.
La Beva film est pour les doublages, principalement ceux qui sont fait avec une table basse pression, même s'il est possible d'utiliser d'autre adhésif dans ce cas.
C'est la beva 371 "gel" qu'il vous faut utiliser.
Jeter un œil, si ce n'est déjà fait sur :
Ainsi que sur les articles de la page http://3atp.org/-Les-adhesifs- sur les différents adhésifs.
Je reste à votre écoute en cas de besoin... et restez prudent·e
Bon week-end.
Denis