Réintégration picturale L’ expression désigne l’ensemble des opérations nécessaires à reconstituer un manque de l’image. On y distingue le masticage (première opération) qui permet d’une part la mise à niveau de la lacune lacune Perte de matière picturale nécessitant une réintégration (manque de peinture et éventuellement de préparation), mais aussi de reconstituer le relief de la peinture ou imprimé en elle (empâtement, coup de pinceau, grains de la toile). Une fois le masticage complètement effectué, et le mastic débordant des lacunes ragréé (éliminé), on vernit le tableau pour la deuxième fois, la première fois étant avant le masticage, afin d’isoler les couches d’origines du tableau de la matière qu’on va y rajouter), et on passe à la seconde opération constituant la réintégration réintégration L’ expression désigne l’ensemble des opérations nécessaires à reconstituer un manque de l’image. On y distingue le masticage (première opération) qui permet d’une part la mise à niveau de la lacune (manque de peinture et éventuellement de préparation), mais aussi de reconstituer le relief de la peinture ou imprimé en elle (empâtement, coup de pinceau, grains de la toile). picturale : la retouche, celle-ci étant la reprise graphique et couleurs des lacunes. Enfin, celle-ci effectuée, on vernit le tableau une ultime fois. La réintégration réintégration L’ expression désigne l’ensemble des opérations nécessaires à reconstituer un manque de l’image. On y distingue le masticage (première opération) qui permet d’une part la mise à niveau de la lacune (manque de peinture et éventuellement de préparation), mais aussi de reconstituer le relief de la peinture ou imprimé en elle (empâtement, coup de pinceau, grains de la toile). picturale est (en dehors du vernissage) la dernière opération d’une restauration, elle ne se pratique en effet que quand l’ensemble du tableau est nettoyé, consolidé plan et stable.