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Rebonjour, comme promis je reviens avec un retour d'expérience. Globalement ça s'est bien passé. Aquazol 200 dilué à l'alcool pour que la substance soit à la fois suffisamment collante mais pas trop liquide. Chauffe de la spatule entre 70 et 80°. Dans la mesure du possible, après application de l'Aquazol au pinceau, je chauffais ensuite la surface en l'effleurant puis rentrais les écailles de peinture au doigt, plus exactement avec le dos de l'ongle. En effet, j'avais un meilleur contrôle là où la spatule, parfois, emportait l'une ou l'autre écaille (partie destructive dont vous m'aviez indiqué le risque) avec besoin de réagrémenter en peinture de même teinte dès lors. Le résultat n'est pas parfait mais meilleur. Merci encore au forum. A bientôt peut-être dans le cadre d'autres travaux.
Merci beaucoup.
J'ai enfin reçu ma spatule chauffante Par contre, je ne trouve pas d'Aquazol 200 sans payer une livraison démesurée ; chez Kremer c'est presque le même prix que les 100g d'Aquazol. Moi qui habite Paris, peut-être connaissez-vous une adresse où je puisse acheter directement sur place ? Encore merci et vraiment hâte de m'y mettre.
Cher Denis, vous m'écriviez au moment où j'écrivais moi-même, je n'avais donc pas vu votre message. Merci. Je vais essayer avec l'aquazol 200. J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre fiche. Qu'appelez vous ''temperature modérée'' concernant la spatule chauffante ? D'autre part concernant la conservation, peut-être avez-vous 1 ou 2 conseils - mais je ne veux pas trop vous déranger, votre premier message donne quelques pistes à travers des questions auxquelles j'avoue ne pas bien savoir répondre.
Merci beaucoup Denis, volontiers pour cette aide supplémentaire que vous évoquez. Merci Librarii, idéalement en tant qu'Artiste plasticien, je suis manuel et aimerais beaucoup me risquer dans les 2 aspects - même si je n'ai pas encore pris ma décision et doit peser ce que vous dites. La partie blanche est bien de la terre cuite. L'éditeur, même si certains platres blancs sortaient aussi de son atelier produisait en majorité des terres cuites parfaitement blanches (beaucoup de grès chamottés sortent blancs à la cuisson > 1000°C). Ce n'est donc pour moi pas un enduit.
Cher Denis, je n'ai pas une idée précise de l'historique de conservation de la pièce comme je l'ai récupéré (achetée à un tiers) récemment de Valence en Espagne - un endroit à priori tempéré voir chaud donc mais concernant l'humidité nous sommes d'accord que ce soit à Londres ou sur la costa del Sol un stockage dans une cave peut dans les 2 cas être humide et donc néfaste ! Librarii, comme on le constate sur l'image, les tons chair sont des terres de sienne, brun van dick, ocres...
Merci à tous pour ces premiers éléments ! Comme demandé, voici une image pour vous aider à mieux comprendre la problématique :
https://ibb.co/TPwxPWM
Bonjour,
J'ai la chance de posséder une Terracotta polychrome d'un buste oriental Goldsheider (70cm), environ 1 siècle et 30 ans d'âge. Si la polychromie accroche correctement sur les vêtements et divers étoffes ce n'est malheureusement pas le cas de la peau dont la peinture s'écaille et oui il y a même un manque la terre cuite blanche est visible dur 8mm environ. Quelqu'un connait-il une technique pour refixage des écailles ? Y'a t'il un masticage particulier à effectuer sur le manque avant coloration ? Si je suis sculpteur (modelage) et ai fait 5 ans en Arts Graphiques et Beaux Arts, je n'ai que des connaissances extrêmement limitées en restauration. Merci beaucoup pour votre aide si précieuse.
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