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Oui il s'agit d'une colle de pâte à base de farine et de colle de peau mais rien de plus précis. Étant donné la particularité du châssis, la mise en oeuvre de ce rentoilage n'est pas antérieure au XIXe s.
Le précédent propriétaire était un cardinal du début du XXe siècle ayant participé à Vatican II, il n'est donc pas exclu que le tableau fut restauré en Italie.
S'arrête ici toutes les pistes que j'ai concernant ce rentoilage.
Si vous le permettez, je peux vous envoyer une photo par mail.
Bonjour Denis,
Oui c'est bien cela. L'oeuvre est juste maintenue par la colle de rentoilage sur le système châssis/toile.
Aucune semence ne la maintient.
Actuellement en dernière année de Master en Conservation-Restauration d’art à Paris, je vous écris dans le cadre de mes recherches de mémoire.
Il s’agit d’une huile sur toile de la fin du XVIIe – début du XVIIIe siècle, probablement d’origine flamande.
L’œuvre est encollée sur une toile de lin préalablement fixée par des semences sur un châssis semi-fixe (XIXe s.) ce qui fait que les bords de la toile originale recouvrent les semences.
Avez-vous déjà eu connaissances de ce type de rentoilage ? Pouvez-vous m'en donner l'origine ?
En vous remerciant par avance du temps et de l'aide que vous pourrez m'apporter.
Camille Vaschetto
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